Je m'identifie

Les grandes lignes du programme d'Andrés Rosberg

06/10/2017

Andrés Rosberg

« Mettre l'A.S.I. au service des associations nationales de sommeliers et de leurs membres à travers le monde. Ils doivent disposer des outils et de l'information pour mieux éduquer leurs professionnels, former leurs candidats et promouvoir l'image du sommelier.

Développer des normes de services uniformes pour tous les sommeliers du monde qui doivent inclure à la fois un travail interne et une coordination avec d'autres organisations à l'étranger.

Promouvoir l'incorporation de nouveaux membres. L'Europe a montré la voie et est bien représentée, mais il reste encore beaucoup de travail à faire en Asie, en Afrique et dans les Amériques.

Un point distinct doit être fait en ce qui concerne l'incorporation d'une délégation des États-Unis d'Amérique à l'A.S.I. car il est stratégiquement essentiel de les impliquer en tant que membre de notre association.

Les assemblées générales doivent être des occasions pour les délégués d'augmenter leurs connaissances, générer des outils promotionnels et de communication pour l'association hôte et offrir des possibilités d'apprentissage et de réseautage pour les sommeliers locaux.

Concevoir de façon différente notre programme de parrainage afin de maximiser les revenus et la participation et, dans le même temps, minimiser les conflits avec les associations nationales de sommeliers qui organisent des événements internationaux.

S'appuyer sur la technologie à l'image de la diffusion en streaming de la finale du Concours du Meilleur Sommelier du Monde en Argentine en 2016 et commencer à penser à l'A.S.I telle que nous voulons l'avoir en 2050.

J'ai également l'intention d'enquêter sur l'histoire de l'A.S.I., avec l'espoir de la présenter dans un livre pour célébrer notre 50e anniversaire. Saviez-vous que nous avons les palmarès des compétitions, mais que nous n'avons pas la liste complète et les informations sur les anciens présidents et conseils d'administration de l'A.S.I ? »